Les volières
Niché au cœur des Dombes dans le département de l'Ain (01), le parc aux oiseaux offre un beau panorama des volatiles peuplant la planète: toucans, serins, rossignols, tourterelles, gouras, perroquets, canards, flamants roses, paons, cygnes, pingouins, nandous, pélicans etc, etc.
Ici, au début de la visite, les volières,
pour les animaux exotiques les plus fragiles et les plus petits...
Des spécimens issus d'Afrique y côtoient souvent des espèces américaines...
Certains, très agiles et parfaitement adaptés à la haute voltige sautent sur les branches les plus élevées et les plus éloignées les unes des autres...
tandis que d'autres, au volume corporel plus important, courent au ras du sol vers les feuillages pour mieux se cacher des visiteurs indiscrets.
Le paradis sur terre?
En sous-titrant ainsi, je repense à la nouvelle de Tennessee Williams mais aussi à ce concours photographique intitulé "Regard Captif", organisé récemment par l'association Code Animal, qui propose de réfléchir à la façon d'envisager la vie des animaux sensés être "sauvages", pourchassés par les braconniers d'un côté, transformés en distraction pour touristes de l'autre...
Que faire?
La vie sauvage est parfois tellement détruite par les activités humaines que c'est peut-être un moindre mal pour ces oiseaux de rester un temps soit peu "à l'abri" dans ces "arches de Noé" que sont les parcs comme celui-ci, en attendant que l'humanité se calme...
une solution provisoire en somme...
http://www.parcdesoiseaux.com/fr/index.php
Niché au cœur des Dombes dans le département de l'Ain (01), le parc aux oiseaux offre un beau panorama des volatiles peuplant la planète: toucans, serins, rossignols, tourterelles, gouras, perroquets, canards, flamants roses, paons, cygnes, pingouins, nandous, pélicans etc, etc.
Ici, au début de la visite, les volières,
pour les animaux exotiques les plus fragiles et les plus petits...
Des spécimens issus d'Afrique y côtoient souvent des espèces américaines...
Certains, très agiles et parfaitement adaptés à la haute voltige sautent sur les branches les plus élevées et les plus éloignées les unes des autres...
tandis que d'autres, au volume corporel plus important, courent au ras du sol vers les feuillages pour mieux se cacher des visiteurs indiscrets.
Le paradis sur terre?
En sous-titrant ainsi, je repense à la nouvelle de Tennessee Williams mais aussi à ce concours photographique intitulé "Regard Captif", organisé récemment par l'association Code Animal, qui propose de réfléchir à la façon d'envisager la vie des animaux sensés être "sauvages", pourchassés par les braconniers d'un côté, transformés en distraction pour touristes de l'autre...
Que faire?
La vie sauvage est parfois tellement détruite par les activités humaines que c'est peut-être un moindre mal pour ces oiseaux de rester un temps soit peu "à l'abri" dans ces "arches de Noé" que sont les parcs comme celui-ci, en attendant que l'humanité se calme...
une solution provisoire en somme...
http://www.parcdesoiseaux.com/fr/index.php
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