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jeudi 2 avril 2020

Le jeu des 1000 soies



Après le jeu des 1000 bornes...


..et celui des 1000 pêches,


voici le jeu des 1000 soies!


"Entrez dans une magnanerie,


et découvrez la vie des soyeux...


Affrontez les aléas,


relancez la production,


et gagnez la partie!"


Un nouveau jeu à découvrir prochainement à l'Espace Kaïko!


En attendant, c'est par ici:

lundi 23 septembre 2013

Japanese tea time


Fraîcheur d'une après-midi,


lotus et ginkgo m'offrent leurs douceurs;


plénitude.


 Avec les céramiques de Martine Ménard:


jeudi 16 février 2012

"Sur mesure" ou: l'art de l'adaptation

Ânes bienheureux, collection privée.
Je suis sensible à l'idée que les objets qui nous entourent doivent être conçus en fonction du mode de vie et de l'état d'esprit de chacun. Car ce n'est pas aux êtres de s'adapter aux ustensiles qu'ils utilisent chaque jour. Il y a certes des principes universels: on demande à une lampe d'éclairer, un radiateur de chauffer agréablement une pièce, un fer à repasser de défaire les plis d'un tissu... tout ça dans des conditions de sécurité et de santé viables, mais pas de nous obliger à nous conformer à des mœurs uniformisées, qui empêchent bien souvent notre nature profonde de s'exprimer, et peuvent parfois, à terme, nous rendre malades.

Boxer, réalisé à la demande de Mme Malou Barentin Nadia.
Et il en va de même pour des choses moins pragmatiques, moins "utilitaires": ainsi une création artistique doit rester l'expression de la sensibilité de son auteur tout en prenant en compte les aspirations de son destinataire. Car la production d’œuvres d'art n'a semble-t-il jamais été aussi développée qu'aujourd'hui. Et les critères de choix demeurent très subjectifs. On peut donc réaliser des centaines de créations qui peut-être n'interpelleront personne parce que noyées dans un océan artistique. 

"Autocommande" pour le logo et la bannière de Manunews.
 Or, pour un artiste, il est tout de même nécessaire voire indispensable de toucher son destinataire car c'est bien souvent celui qui le finance en faisant l'acquisition de nouvelles œuvres, celles-ci exprimant alors la rencontre de deux sensibilités, celle de l'auteur et celle du commanditaire à un espace et un temps donnés. Cette façon de travailler permet notamment à l'artiste de n'engager du temps, de l'énergie et/ou des frais que dans la perspective d'être payé en retour, de ne pas avoir à stocker trop d’œuvres à la fois et surtout de rester connecté avec le monde, donc de ne pas s'isoler.

Couple de tigres, dédicace au dos.
Pour toutes ces raisons, j'essaye, très modestement, à ma mesure, d'appliquer cette idée. Quand je dessine, quand je photographie, et même quand j'écris, j'ai sans cesse en tête ceux et celles à qui je destine mon travail.
Je pense à ce qu'ils aiment, à leurs difficultés, à nos points communs, à leurs particularités et à leur décor quotidien. Avant de réaliser un croquis pour quelqu'un, je lui demande d'abord son avis, s'il préfère tel ou tel modèle au départ, s'il a un animal favori, ou s'il aime mieux une vue du dessus qu'une vue latérale, etc, etc. 

Aigle royal, collection privée.
 Je fais aussi en sorte de me nourrir de ce que la personne aime et que j'aime comme elle. Par exemple, je dessine avec la musique qui nous plaît, ou au moins avec des ambiances mélodiques les plus proches de ses goûts et des miens. Et puis j'adapte ma position et celle de ma table de travail en fonction de nos ressentis. Un moyen de donner de la "profondeur" à ce que je fais, d'y intégrer l'énergie la plus adaptée et la plus bénéfique possible, afin que l'acheteur puisse s'en nourrir à chaque regard, et que l'objet d'art qu'il a acquis soit ainsi un "baume spirituel".

Edelweiss, collection privée.
Nota bene: toutes mes œuvres sont livrées signées, même si ici la signature n'apparaît pas toujours sur les images.

dimanche 4 décembre 2011

Aoi Clothing : new japanese lifestyle


     Les kimonos de soie aux motifs colorés, à la douceur et au confort incomparables m'ont toujours fait rêver. Seulement voilà, c'est tout un art pour les porter selon les règles japonaises, et carrément périlleux si on travaille et/ou qu'il fait un temps de chien dehors (si, si, j'ai essayé)...
Alors quand on découvre Aoi Clothing (et son designer Tatsuki Takino), on tombe pile sur LA solution: des vêtements incrustés de ces imprimés et broderies uniques qui restent pratiques, très agréables à porter et élégants. En plus des coupes modernes, voire intemporelles, les contrastes obtenus sont du plus bel effet : de quoi avoir de l'allure sans avoir peur d'en faire trop. 

 
Sans compter qu'une même pièce peut la plupart du temps se porter de plusieurs façons différentes, offrant ainsi la possibilité de former beaucoup de silhouettes avec finalement un nombre restreint d'éléments.
Les matières de support, coton, fibre de bambou, laine, cuir ou synthétique sont douces et de très belle qualité,
les créations extrêmement variées: pantalons, sarouels, hakamas, vestes, blousons, manteaux, robes, blouses, haoris, kimonos, foulards, cravates, écharpes, sacs, pochettes, ceintures, obis, obijime, zoris, jikatabis, etc.


L'ensemble est présenté dans une ambiance très chaleureuse, conviviale et vivante lors de salons comme Japan Expo ou encore à l'occasion de ventes privées comme celle qui a lieu du 16 au 24 décembre prochain... pour s'inscrire, cliquez vite ici:  http://www.aoiclothing.com/home.html !